Historique Des activités de boulonnerie, d’aciérie, de fonderie et de laminage se développent sur le site de 1883 jusqu’en 1970. Suite à la mise en liquidation de l’activité principale
(société Atlas Gilson Steel) en 1960 et au déménagement de la société Précimétal en 1970, une grande partie des installations et des anciens bâtiments est démolie. La société CODAMI
s’établit en 1973 sur le site pour y développer des activités de ferraillage et de traitement de mitrailles jusqu’à la fin des années 1990.En 2000, une société active dans le secteur du
bâtiment s’installe dans les infrastructures subsistantes.Projet de développement économique Le site est repris en zone d’activité économique industrielle. Une nouvelle étape de
travaux se prépare sur le site "CODAMI" à Manage. Cette étape consiste essentiellement à réhabiliter les sols contaminés du site et à déconstruire les infrastructures encore
présentes. SPAQuE entame la déconstruction de certains bâtiments du site "CODAMI" à Manage ainsi que l’assainissement des sols pollués. Une fois les lieux réhabilités, un projet
mixant habitat et zone d’activité économique dédiée au secteur automobile devrait y être développé par la commune de Manage et l’intercommunale IDEA. Une troisième étape de
travauxDeux étapes de réhabilitation ont déjà été réalisées par SPAQuE sur "CODAMI". Fin 2011, deux bâtiments désaffectés ont été déconstruits au nord-ouest et au sud-est du
site. Et entre 2013 et 2014, SPAQuE a procédé à l’évacuation de terres, matériaux et déchets. Actuellement, SPAQuE réalise tout d’abord la déconstruction de certains bâtiments, de
murs périphériques, de la rampe d’accès au site et de dalles et structures enterrées. SPAQuE procédera, ensuite, à l’assainissement des sols contaminés en métaux lourds,
hydrocarbures aromatiques polycycliques, huiles minérales et amiante. Les remblais situés sur les dalles de sols seront excavés et évacués. Les taches de pollution présentes dans les
remblais et partiellement dans le terrain naturel, seront excavées et évacuées en centres de traitement agréés. Enfin, les zones excavées seront remblayées et le site sera reprofilé et
nivelé à l’aide de remblais sains.L'IDEA envisage le développement d'une zone de services-bureaux, de logements, d'espaces verts et d'un parcours VITA. a voir ….a Franco-Belge
était à l'origine une clouterie, avant de fabriquer du matériel de chemin de fer.1859: La Compagnie Belge pour la Construction de Matériel de Chemins de Fer est créée, par fusion
des Établissements Charles Évrard à Bruxelles et Parmentiers à La Croyère .1882: La Société Anonyme pour la Construction de Machines et Matériel de Chemins de Fer est créée en
1882. Son siège social est à Paris, ses usines à Raismes en France et La Croyère en Belgique. et pour cause de Tous droits de reproduction et de représentation réservés allez voir les la
suite et photos sur le site de
1 ) les ateliers du Thiriau ,société anonyme 1899-,production 12.000T et 600ouvriers,- 2)chaudronnerie et ateliers de construction de la Croyère, société
anonyme,1919,production 1200T et 90ouvriers, 3)laminoirs de longtain,société anonyme la Croyère-bois-d’haine 1924, production 17000T,300ouvriers,-4)société anglo-franco-
belge de matériel de chemin de fer,société anonyme,a la croyère1859,production annuel 15a20 locomotives,120voiture de voyageurs et 1800 wagon de tous types et 700 ouvriers
(actuellement Cora)-5)Usines Gilson ,société anonyme a la Croyère 1883 production 120.000Tet 1700 ouvriers -6) Verreries de l’alliance société anonyme la Croyère -bois-
d’haine 1921 ,production 4.500.000 pièce et 160 ouvriers )-7) verreries de la motte a bois-d’haine la Croyère ? Production 8.000.000 et 200 ouvriers,8)Glace pure et Grands
frigorifères du centre ,1929 rue de la Croyère (actuellement garage Toyota) ,9)les forges de la flache Mathieu Frères ,1930 fabrque d’écrous taraudées a créneaux ,15 ouvriers
fermeture en 1951,-10)les forges louis Peeters 1947 à 1960 pièces pour wagons voiture et locomotives et bien d’autre petites entreprise , mais ce qui me suscite le plus de passion
est le laminoir de la Croyère ,cela commence par la vente de biens et terrain ,prairie verger bâtiment ferme dite du Thiriau et dépendance ,verger au champ des bois et champ
des prés d’houdez ce qui deviens le laminoirs de la Croyère 1859 ,en juin 1871une première faillite , mais en novembre de la même année les quatre acheteurs constituer entre
eux une nouvelle société des laminoirs de la croyère en 1893 occupé par 250 ouvriers après de nombreux turbulences de vente et de rachat de la société des laminoirs de la
Croyère et 1911 la société repartir sur de nouvelle bases mais fut de courte durée par la première guerre les laminoirs fur ainsi complètement supprimés une partie des
laminoirs étaient resté en activité jusqu’en 1916mais la petite activité fut de courte durain car le démentiellement des machines-outils ainsi que les cuivres trains,machines ,fer
fini et démolition des fours ,des chaudières et machines (1917) ,1919 les laminoirs de la Croyère ce son engagée a vendre a la commune de la Louvière une parties des terrain et
bâtiments en 1924 ainsi a l’emplacement d’une partie du laminoirs fut créé la place des laminoirs a leur actuelle place keuwet ,les cinq maison de la rue Parmentier
(actuellement rue de l’appel) on été acquise par Jeles Dambot industriel a la Louvière en septembre 1919 au sous la condition essentielle que la société acquéreuse viendrait
établir une cantine au un cabaret dans l’une des maison Jules Danbot avait épousé la fille du brasseur Alexandre Triffet ainsi les bières fournie débitées au consommées dans
les cantine au cabaret devront être de bonne qualité et livrées au cours du jour ..(Pour la petite histoire je suis propriétaire d’une des maison) voila en 1931 après de nombreux
bouleversements on prononçait la dissolution de cette société et mis en liquidation.la sociéte n’existe plus et quel souvenir reste encore ver les années 70 des Haal ainsi qu’une
châteaux d’eau avec l’inscription Chamétal et quelle friches diverse ver fin 1961 mais terme a la société Chamétal don les actionnaire mes en liquidation et en 1964 les usine
Gilson revende toutes les installation aux usine Boël (domaine du Tréou ) la société Chavan est autorisée a occupé gratuitement jusqu’en 1965 on peut noté que le chemin du
Tréou en 1941 grâce a un échange de parcelle entre les usine Gilson et l’administration communal de la Louvière a été rectifiée et actuellement rue Eugène Dubois qui longe la
bretelle de la sortie de l’autoroute ,chemin du Térou qui était compris entre le pont du même nom sur le canal et la place de la Croyère (actuellement place Keuwet), en 1974 les
usine Boel construit sur le terrain du Térou un laminoir a froid de nombreux déboire avec les riverain proche avais fin par acore avec Boel sur le permis d’exploitations et les
nuisance que le laminoir pouvait engendrais l’entreprise connut une importante récession une fusion très courte avec hoogovens , puis l’abandonne pour un franc symbolique
a duferco 1999. À propos de la croyère LACROYERE.BE. Voila une partie de la Croyère en 1879 et long voie bien l’usine du laminoir de la croyère En face quelque
maison qui son a l’heure actuel toujours là maintenant rue de l’appel transformé en cul de sac mais avant le chemin continue ver la future cite (reine Astrid) et de l’autre coté
on voie l’usine qui est devenue par la suite la franco-belge puis cora city .Photo Les usine gustave Boël ;les boulonneries de la louvière,les laminoirs de la croyère,les
importantes usine Gilson, les ateliers de Thiriau,la chocolaterie Kwatta,la frnaco-belge,l’usine d’agglomération de minerais ,àproximité, les vaste chantier de la brugeoise de
nicaise et delcuve,les verries du centre,les ateliers Charlez–Gobert et Cie ,plus loin les terrils des charbonnages,,ces montagnes noire ,jettent dans l’espace ,leur note
sombre,donnant au paysage un aspect caractéristique inédit qui a son charme et bien au lointain les créte de la vallée de la sambre et la fontiére française.on longe alors la rive
gauche du canal pour arriver au tout-y-faut, proche de la ferme du mime nom Celle existe actuellement de 1765 à 1782 tout-y-faut signifie tout y trompe (de fallere tromper)
effectivement autre fois les terres de Cette ferme étaient réputées mauvaise un drainage effectué il y a environ 60 ans et une culture intelligemment conduite par feu MM
Guyaux père et fils les ont améliorées au point d’en faire Les meilleures de la région ce grand bâtiment abrita en juin 1815 l’avant-garde belge commandée par le colonel
Delporte qui avait pour mission de surveiller la marche de l’armée Française commandée par napoléon 1er quelque jours avant Waterloo la promenade se poursuit à travers de
jolies et fertile campagnes limitées au nord par le bois de la Louvière sur Houdeng et à l’Est par l’agglomération de la Louvière le canal s’enfonce dans une vallée fortement
encaissée et des plus jolies elle présente au fond le chemin de halage et à mi cote Un passage réservé aux piétons qui constitue un sous-bois délicieusource
http://www.cartesius.be/CartesiusPor
une petite Histoire des ateliers du Thiriau du Hameau de la Croyère,
Après la première guerre mondiale, le groupe Gilson entreprend une étude concernant la construction d'un laminoir dans la région de La Louvière. Leur choix se porte sur un
terrain inoccupé situé à Bois d'Haine et c'est en 1924 que naît la Société Anonyme des Laminoirs de Longtain. Construite entre 1924 et 1925, l'usine se spécialise rapidement
dans l'élaboration de petites pièces métalliques mais bénéficiera dès les années 30 de l'essor de l'industrie automobile en fabriquant des châssis métalliques et des tôles. Dans les
années quarante, une nouvelle division, destinée au profilage à froid, voit le jour au sein des laminoirs. Division laminage à chaud, Division laminage à froid Division profilage à
froid,- Division soudure L'usine passe ensuite entre les mains d'Albert Frère qui en sera le propriétaire de 1970 à 1977. À cette époque, 1.200 ouvriers y sont employés mais suite
à la crise, Hainaut-Sambre rachète la société. Après la fusion avec Cockerill, en 1981, les difficultés s'accentuent encore et moins de trois ans plus tard la division laminage à
chaud ferme ses portes. Suite à cette fin tragique, il ne reste plus à Longtain que 140 ouvriers. En 2001, Arcelor reprend les actifs de Cockerill-Sambre et décide de céder sa
division tube au groupe espagnol Condesa, division dont fait partie Longtain. Hélas, rien ne change pour ce dernier qui est désormais au bord de la faillite. Après plusieurs
vagues de fermetures et de reprises, la société est rachetée en 2015 par les hommes d'affaires Stéphan Jourdain et Joseph Fascella mais rien n'y fait, les laminoirs de Longtain
sont déclarés en faillite en février 2016.
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